Concrètement, on ajoute à la page un balisage basé sur un vocabulaire commun (souvent Schema.org) pour qualifier des entités et leurs propriétés (ex. nom, prix, disponibilité, auteur, note, date, adresse).
À quoi ça sert ?
- Compréhension : clarifier « de quoi parle » la page et quels sont les attributs importants.
- Éligibilité aux résultats enrichis : certaines données structurées peuvent déclencher des affichages plus riches (étoiles d’avis, prix, fil d’Ariane, FAQ selon les cas).
- Réduction d’ambiguïté : utile quand un terme/une marque peut être interprété de plusieurs façons.
Formats courants
Google indique que, pour l’éligibilité aux résultats enrichis, trois formats sont supportés, avec JSON-LD recommandé : JSON-LD, Microdata, RDFa.
Exemple concret
Sur une page produit e-commerce, le balisage peut préciser : nom du produit, marque, prix, devise, disponibilité, agrégation d’avis. Cela aide Google à interpréter et vérifier plus facilement les informations de l’offre.
Points de vigilance et angles morts fréquents
- Ce n’est pas une baguette magique SEO : les données structurées améliorent surtout la compréhension et l’affichage, mais ne garantissent ni résultats enrichis ni meilleur classement. Google insiste sur l’éligibilité et les règles, pas sur une promesse de ranking.
- Cohérence avec le visible : le balisage doit correspondre au contenu affiché à l’utilisateur et respecter les politiques ; sinon, vous risquez l’inéligibilité, voire des actions manuelles liées au spam de données structurées.
- Qualité > quantité : multiplier des schémas inutiles ou approximatifs crée des erreurs, de la dette technique et de la confusion.
Outils de vérification
Le « Rich Results Test » et les rapports associés (Search Console / inspection d’URL) permettent de valider les erreurs et l’éligibilité aux résultats enrichis.